Rentrez dans l’intimité du freerider Xavier de Le Rue, l’un des meilleurs snowboarders mondiaux. Découvrez sa vision du snowboard, les motivations qui le poussent à trouver de nouveaux terrains de jeu et de nouvelles façons de les exploiter, et pourquoi le snowboard est sa raison d’être.
Prenez une grande inspiration, accrochez vous, et préparez vous à 20 minutes d’immersion en pleine montagne aux cotés de Xavier et ses potes.
Pierre Chauffour, highliner doué, vous invite dans cette vidéo de quelques minutes à vous plonger dans les sensations intenses ressenties en highline.
Il a d’abord installé 5 nouvelles lignes bien aériennes sur les hauteurs du Vercors avec vue sur Grenoble. Puis il y a invité ses amis et les amis de ses amis. Ils ont fini par y passer une semaine. Tous les protagonistes de ce film sont comme vous et moi, ce ne sont pas des professionnels, la plupart d’entre eux n’ont même jamais vu une highline avant.
Un bravo tout spécial à mon talentueux cousin Etienne qui nous gratifie d’une traversée intégrale de la ligne à partir de 7’06 ».
Toujours pas fan de la musique habituelle de ce genre de vidéos mais si on fait abstraction du son, il faut bien avouer que les images sont dingues et que ce que font ces gars avec leurs vélos est magique.
Ceux d’entre nous qui aiment le plein air et les lieux sauvages de la planète n’ont pas vraiment besoin de preuve pour croire que la Terre est le plus bel et incroyable terrain de jeu qui soit. Mais pour ceux qui ont encore besoin d’être convaincu et ceux qui ont du mal à voir que c’est une chance et qu’il faut se battre maintenant pour elle, jetez un coup d’oeil à la vidéo ci-dessous.
Des images fantastiques à mettre en plein écran et avec un volume sonore qui va bien !
« Alors que nous sommes assis ici tranquillement, alors que nous hésitons et procrastinons, le nombre de mort ne cesse d’augmenter. La dévastation est massive et étendue. Des centaines de milliers de personnes ont perdu leurs maisons. Et l’épreuve est loin d’être terminée alors que le Typhon Bopha a regagné de la force et s’approche d’une autre région peuplée de l’ouest des Philippines.
Madame la présidente, nous n’avons jamais connu un Typhon comme celui-ci. Il a fait des ravages dans une partie du pays qui n’a pas vu une telle tempête depuis plus d’un demi siècle. Et les tragédies comme celles-ci ne sont pas spécifiques aux Philippines, c’est le monde entier, et surtout les pays en voie de développement qui luttent pour remédier à la pauvreté et pour un développement social et humain, qui sont confrontés aux mêmes réalités.
Madame la présidente, je parle de la part de 100 millions de Philippins, dont 250 000 résident et travaillent ici au Qatar. Je lance un appel urgent, non pas en tant que négociateur, non pas comme leadeur de ma délégation, mais en tant que Philippin. »
« J’en appelle au monde entier, j’en appelle aux leadeurs de la planète, pour ouvrir les yeux sur la sombre réalité à laquelle nous faisons face. J’en appelle aux ministres. Le résultat de nos travaux n’a rien à voir avec ce que notre hiérarchie politique nous demande. Nous devons écouter ce que 7 milliards de personnes attendent de nous.
J’en appelle à tous : s’il vous plaît, plus de retards, plus d’excuses. S’il vous plaît, faites qu’on se souvienne de Doha comme l’endroit où nous avons trouvé la volonté politique de changer les choses. S’il vous plaît, faites qu’on se souvienne de 2012 comme l’année où le monde a trouvé le courage de prendre ses responsabilités pour le futur que nous voulons. Je vous demande à tous, ici : si ce n’est pas nous, alors qui ? si ce n’est pas maintenant, alors quand ? Si ce n’est ici, alors où ?
Merci madame la présidente. »
L’intervention du négociateur en chef des Philippines, Naderev Saño, mardi, à Doha, en pleine conférence des Nations unies sur le changement climatique, ne sera pas passée inaperçue. Pourtant, alors que la conférence s’est achevée vendredi dernier, les négociations n’ont absolument rien donné, pas même une esquisse de feuille de route.
Le 22 novembre, avec son engin incroyable, le pilote Paul Larsen a tenté de s’attaquer au record du mille nautique (1852 mètres) jusque là détenu par l’Hydroptère. Basé à Walvis Bay en Namibie, le pilote a pris le risque de s’élancer d’un peu plus loin au large pour pouvoir lancer sa machine sur la distance minimum voulue sous à peine plus de 25 nœuds de vent réel sur zone. Résultat : un run à 55,3 nœuds, soit 5 de mieux que le précédent record de l’Hydroptère.
Cerise sur le gâteau, c’est un autre record qui a été pulvérisé deux jours plus tard sur 500 mètres qui a été amélioré deux jours plus tard : « le GPS a enregistré 67,74 nœuds et une moyenne de 65,37 sur 500 mètres ! »
Les concepteurs du Vestas Sailrocket 2 prévoyait de toucher les 65 nœuds par 26 nœuds de vent réel. Pari gagné !
La vidéo ci-dessous est impressionnante et montre le run sur un mille nautique avec des pélicans pour témoins…
Les Australiens Cameron Webb et Matt McFadyen se préparent actuellement pour un beau voyage l’été prochain. Les deux hommes envisagent de traverser le Passage du Nord-Ouest dans un bateau de 17 pieds qu’ils vont faire avancer en ramant, en naviguant et en le faisant glisser à travers les eaux glacées de l’océan Arctique, couvrant plus de 2000 miles (3218 km) dans le processus.
L’expédition, qu’ils appellent Beyond the circle, est prévue pour juillet prochain et débutera à partir d’Inuvik, dans les Territoires du Nord-Ouest au Canada. Cam et Matt estiment qu’il faudra environ trois mois pour compléter la traversée, qui aboutira à Resolute en septembre ou octobre.
Ces dernières années, le changement climatique a ouvert le passage du Nord-Ouest et a rendu ses territoires plus accessible que jamais. Où il était congelé toute l’année, il s’ouvre aujourd’hui au cours de l’été, permettant aux navires de passer à travers pour un bref moment. Cette fenêtre d’opportunité est souvent étroite cependant. Il est toujours dangereux de naviguer à travers les grands icebergs qui font parfois barrage. C’est pourquoi nos deux aventuriers ont choisi de prendre un petit bateau, conçu par Norseboat. Non seulement il sera plus facile à manœuvrer dans l’océan Arctique, il sera aussi plus facile de le faire avancer à la rame si nécessaire et de le faire glisser sur la glace lorsque le passage se refusera complètement. Comme Cam et Matt la décrivent, cette expédition sera de 4 Avirons + 3 mois + 2 hommes + 1 petit bateau. Le voyage d’une vie en somme.
L’expédition doit servir à lever des fonds pour des organisations caritatives basées en Californie : Save Our Shores et Coastal Watershed Council, deux associations axées sur la protection des océans.
Peut-être n’avez-vous jamais entendu parler de Davey du Plessis ? Pourtant à ce jeune aventurier sud-africain est arrivé une histoire rocambolesque et un peu terrifiante il faut bien le dire lors de sa dernière aventure.
En juillet de cette année, il commença ce qui devait être une aventure épique de six mois sur le fleuve Amazone de la source à la mer. S’il l’avait achevé, Davey aurait été le plus jeune aventurier solitaire et le second à parcourir le fleuve Amazone en intégralité, après Mike Horn.
Davey entama donc son périple en grimpant le mont Msimi (5669m) dans les Andes. Il roula ensuite environ 800 kilomètres le long du principal affluent de l’Amazone, le fleuve Apurimac. Puis à la fin de Août, après un mois seulement sur le fleuve Amazon et après avoir franchi quelques rapides extrêmes, Davey a été abattu. Non, vous ne rêvez pas!
L’info a circulé sur internet assez vite et cela a notamment aidé à accélérer sa prise en charge dans une unité de soins intensifs d’un hôpital de Lima. Il n’est de retour en Afrique du Sud que depuis peu et il a pu raconter cette expérience dingue au dernier FEAT (Fascinating Expedition & Adventure Talks), une sorte de TEDx des aventuriers. Ça fait un peu froid dans le dos mais l’histoire est à écouter.
Après avoir réussi à atteindre le sommet de 6239 mètres d’altitude de la Tour de Trango, David Lama et son ami Peter Ortner se sont déplacés un peu plus loin sur le vaste glacier de Baltoro pour tester leurs aptitudes à la très haute altitude en escaladant le Chogolisa (7650 mètres), une montagne célèbre pour avoir été le lieu de la disparition de la légende de l’alpinisme de l’époque Hermann Buhl (première ascension du Nanga Parbat) alors qu’il tentait la première ascension en 1957.
La dernière fois que le pic a été atteint, c’était en 1986. Une belle performance pour cette cordée dont les faits d’armes avait jusque là plutôt eu lieu sur le rocher vertical.
ZIGZAG est un Prusik mécanique pour les élagueurs. Il permet de se déplacer efficacement dans l’arbre, tout en conservant la gestuelle propre au système poulie Prusik classique.
L’enchaînement des maillons apporte précision, fluidité et efficacité quelque soit le mouvement : aller au bout d’une branche et revenir au tronc, passer rapidement de l’ascension à la descente, penduler, re-descendre au sol …
Il optimise l’effort physique et la poulie, montée sur roulement à billes, permet de ravaler le mou facilement.
Il sera disponible en février 2013.